Petite chanson de Micheline S. pour égayer l’atmosphère, sur l’air de « Pourvu que ça dure » de Patrick Sébastien :
Pourvu que ça dure
La belle aventure
Le covid parti
Et les yeux qui pétillent
Tant qu’il y a les jeux
Et tous les voyages
C’est que du boni
JC, Mia, Merci

Comme chaque année à pareille époque, et même dès que l’occasion se présente, je vais essayer de résumer la situation.

Départ de Barchon, dimanche matin en route vers Mulhouse, notre ville étape.
1ère attraction et non des moindres, le magnifique musées des vieilles voitures, tellement étendu, que certains se voient obligés d’emprunter un petit train, pour y déambuler, faisant parfois baver, ceux qui n’y ont pas accès.
Qu’est-ce qu’on mange ce soir ? entend-on dans le car.
De la choucroute, bien sûr !
Eh non, c’est une blague, …c’est pas possible ?
Eh bien oui, peint de facétie :
Par 30° à l’ombre, c’est bien le menu. Délicieux par ailleurs …

En route vers Verbania.
Grâce aux travaux dans le tunnel du Saint-Gothard, on emprunte un itinéraire B qui nous permet de découvrir de superbes paysages dans les montagnes suisses.
Des routes sinueuses, en lacet, comme on les aime, au point que tous les bonbons de Marc sont descendus en chute libre, dans l’escalier des toilettes.
C’est enfin le moment d’envoyer un message à la famille : « Bien arrivés à Verbania, il fait chaud, l’hôtel est super, à +. »

Mardi : Matinée cool avec force explication sur ce qui nous attend.
Passons donc aux choses sérieuses :
Voyage vers le 1er lac, celui d’Orta :
15h30 : on saute dans le bateau
15h40 : on saute hors du bateau
15h50 : escalade et visite de l’église Saint-julien
16h30 : on re-saute dans le bateau
16h35 : on arrive à Orta
16h40 : visite dudit lieu
17h00 : temps libre
17h30 : on embarque
17h35 : on débarque
17hh40 Tout le monde dans le car
Pire que des Japonais !

Déjà mercredi.
Dès potron minet, nous quittons Verbania vers le lac de Come.
Et comme chacun le sait, en Italie, Come… c’est le nooooord ! C’est donc la drache nationale qui nous accueille à la sortie du car. Chacun se protège sous son parapluie, un KW ou autre veste imperméable. Nous déambulons dans la vieille ville et terminons par la visite de la cathédrale. Eh, oh miracle : quand nous sortons, il ne pleut plus.
L’après-midi, excursion en bateau, et comme précisé dans le fascicule (si vous l’avez lu) « Sans en avoir l’air, ce paysage a l’art de rendre instantanément serein et paisible » En effet, certains en profitent pour piquer un petit roupillon.

En ce jeudi matin, nous partons à l’assaut des iles du lac Majeur. Si nous faisons une indigestion des péripéties de la famille Boroméo, par contre, ses îles sont paradisiaques. Découverte de paysages sublimes à bord des bateaux. Sur les îles Bella et Madre (autrement dit Belle Mère) des palais regorgeant de sculptures, tapisseries flamandes ou encore de salles et salons démesurés. Mais, ce qui a sans doute, les plus plu, ce sont les jardins où se côtoient animaux et plantes exotiques.
Et comme tout le monde l’imagine, c’est là que Louis a trouvé son bonheur, parmi toutes ces plantes et jolies fleurs, et surtout, bien accompagné par ses 2 Joséphine

Et voici le clou du spectacle : MILAN
Et comme chacun le sait, en Italie, Milan c’est un peu plus au sudddddd… C’est donc un rayonnant soleil qui nous accueille à la sortie du car Visites traditionnelles dans ce genre de périple : un vieux château, une vieille cathédrale, un vieil opéra, une vieille galerie commerçante légèrement au-dessus de nos moyens.

La pluie du matin n’arrête pas le pèlerin.
La plupart n’hésite pas à affronter les éléments pour aller à Connobio visiter 2 églises dont une abrite « une côte à l’os saignante » : en réalité, une relique d’un des nombreux saints de la région Comme d’hab., Jean-Claude compte ses ouailles et s’aperçoit qu’il en manque un. Panique à bord pour se rendre compte, qu’il ne s’était point compté.

REMERCIEMENTS

Tout d’abord, permettez-moi d’en faire un en mon nom, à toutes les personnes qui, souvent involontairement, m’ont donné des idées pour rédiger ces quelques pages.

Maintenant, c’est au nom de toutes et tous, que je remercie Dark Vador, qui nous a emmené partout, même dans des lieux improbables

Un petit clin d’œil également, à tous les vaillants sportifs qui ont donné un coup de main à Louis.
Coucou à notre Président, toujours présent, et qui a eu la bonne idée de nous offrir l’apéritif.

Last but not least, je remercie Jean-Claude, grâce à qui tout cela est possible. Il gère tout comme un chef, ou presque, résolvant ou éludant les problèmes, dans la bonne humeur, le calme, la sérénité et l’impassibilité. Le tout secondé par Mia et son éternel sourire.

Et pourquoi ne pas nous remercier, nous même, Robert pour la musique, Micheline pour la chanson et moi, pour la bafouille ?

Et, pour ceux qui veulent l’image et le son, voici le lien pour la vidéo enregistrée par Monique G. : <https://studio.youtube.com/video/Vg...>